"La plupart des femmes passent sans transition de l'hypocrisie au cynisme. Combien peu s'arrêtent à la sincérité." D. Stern
jeudi
Mon chat est mort et mon père va chez le coiffeur. La chance tourne, je le sens.
1 commentaire:
Anonyme
a dit…
bonsoir .
Encore une fois, je me permet d'écrire ce commentaire en tant que visiteur anonyme, j'ai envie d'écrire sur ce que sont mes pensées, froides, bleues, immenses. ( mon âme et mon coeur, bref).
c'était un garçon qui pensait pouvoir communiquer avec les cacahuètes, et qui était convaincu de l'existence des roses de toujours. Un soir il écrivit à quelqu'un qu'il ne connaissait pas, et lui a dit que l'amitié est une denrée rare qui dure toujours. Le garçon ne put s'empêcher de lui envier l'amitié qu'elle partageait, et de la trouver belle.
l'âme poussiéreuse et pleine de vide, ouverte au froid et au temps qui passe trop vite, attrapa un rhume. Un grand rhume empreint de mélancolie et de tristesse. Et le coeur aussi fut malade. Malade de ce qui l'entourait, malade de qu'il était. incapable de reprendre gout à la vie, il se laissa mourir et l'âme, condamnée, finit par accepter sa douce fin.
Le garçon sentait, souhaitait une fin proche, faute de ne pouvoir profiter davantage des belles choses.
je voudrais bien continuer, mais mes parents ont du mal avec le lecteur DVD, et ma place à table est vide. Ce soir, nous mangeons devant "le bal des vampires".
1 commentaire:
bonsoir .
Encore une fois, je me permet d'écrire ce commentaire en tant que visiteur anonyme,
j'ai envie d'écrire sur ce que sont mes pensées, froides, bleues, immenses. ( mon âme et mon coeur, bref).
c'était un garçon qui pensait pouvoir communiquer avec les cacahuètes, et qui était convaincu de l'existence des roses de toujours.
Un soir il écrivit à quelqu'un qu'il ne connaissait pas, et lui a dit que l'amitié est une denrée rare qui dure toujours.
Le garçon ne put s'empêcher de lui envier l'amitié qu'elle partageait, et de la trouver belle.
l'âme poussiéreuse et pleine de vide, ouverte au froid et au temps qui passe trop vite, attrapa un rhume. Un grand rhume empreint de mélancolie et de tristesse. Et le coeur aussi fut malade. Malade de ce qui l'entourait, malade de qu'il était.
incapable de reprendre gout à la vie, il se laissa mourir et l'âme, condamnée, finit par accepter sa douce fin.
Le garçon sentait, souhaitait une fin proche, faute de ne pouvoir profiter davantage des belles choses.
je voudrais bien continuer, mais mes parents ont du mal avec le lecteur DVD, et ma place à table est vide. Ce soir, nous mangeons devant "le bal des vampires".
bonsoir.
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